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Que les Prières et les Salutations d’Allah soient sur notre Prophète Mohammed ainsi que sur sa famille et tous ses Compagnons !

 

Voir notamment : taqrîrât aimmat e-da’wa fî mukhâlafat madhhab el khawârij wa ibtâlihi qui est une thèse esdoctorat du D. Mohammed Hishâm Tâhirî, et ayant eu parmi les membres du jury le grand Mufti actuel d’Arabie Saoudite, ‘Abd el ‘Azîz Âl e-Sheïkh.

 

Introduction

 

Sortir injustement un musulman de l’Islam (takfîr) est un péché grave. S’il peut être motivé par des raisons matérielles ou sous l’effet de la colère, il devient plus condamnable quand il est dicté par les passions et une ambition perfide. Le statut d’apostat engendre de lourdes conséquences contre la personne condamnée, comme nous l’avons vu dans Les restrictions au takfîr. Ces lois s’appliquent à un simple citoyen, mais le takfîr du responsable de l’autorité engendre des conséquences encore plus lourdes. Il est à même de déstabiliser tout un pays et de le livrer en pâture aux nombreux prédateurs à l’affut. En proie aux guerres intestines, la société se déchire. Tout au long de l’Histoire musulmane, les kharijites ont représenté une épine pour leurs concitoyens.

 

Encore aujourd’hui, ils sévissent dans de nombreux pays musulmans à la grande joie des ennemis de l’Islam, qui voient en cela un moyen très efficace pour exercer sur eux des pressions et un lourd chantage.

 

Les savants musulmans ont depuis toujours, fait front à ce fléau. Ceux de aimmat e-da’wa n’ont pas échappé à la règle. De nombreux passages de leurs ouvrages mettent en garde les non-initiés de s’aventurer dans un domaine aussi épineux.

 

L’Imam Mohammed ibn ‘Abd el Wahhâb utilise plusieurs hadîth qui condamnent le takfîr illégitime.[1]Selon Abû Dharr notamment, le Prophète (r) prévient : « Si l’accusation de pervers ou de mécréant est infondée, elle se retourne contre son auteur. »[2] Toujours selon Abû Dharr, un autre hadîth nous apprend : « Si on traite quelqu’un à tort de mécréant ou d’ennemi d’Allah, cela se retourne contre soi. »[3]  Sheïkh Sulaïmân ibn ‘Abd Allah Âl e-Sheïkh met vivement en garde de traiter son frère musulman d’hypocrite pour un intérêt matériel ou par esprit de clan, etc.[4]

 

D’autres hadîth dénoncent de telles accusations infondées. Nous avons notamment :

« Taxer un croyant de mécréant, c’est comme si on l’avait tué. »[5]

« L’accusation de mécréant contre son frère s’applique obligatoirement sur l’un des deux. »[6]

 

L’explication de ces hadîth

 

Sheïkh‘Abd Allah Abâ Btîn explique pour sa part que la menace qui plane sur l’auteur d’une telle accusation n’est pas forcément à prendre au sens propre. En s’appuyant sur une analyse d’e-Nawawî, il recense les différentes opinions avancées par les savants en explication à ces hadîth qui à première vue posent problème. Du domaine des grands péchés, le takfîr illégitime d’un musulman n’entre pas dans les annulations de l’Islam. Au nombre de cinq, ces interprétations résolvent ce problème. Interprétations que nous présentons comme suit :

1-      En autorisant moralement (istihlâl) à sortir un musulman de la religion, on devient un mécréant.

2-       Le péché de sortir quelqu’un de la religion revient sur l’auteur de l’accusation.

3-      Ces hadîth parlent des kharijites connus pour jeter la vindicte sur leurs coreligionnaires. Cette tendance est la plus faible, étant donné qu’aux yeux des grands spécialistes et de la plupart des savants, leskharijites ne sont pas des apostats. Ils ont le même statut que la plupart des innovateurs.

4-       Sortir quelqu’un de la religion ouvre la porte à la mécréance. En abusant des péchés en général, on risque de sombrer dans l’apostasie.

5-      L’accusation se retourne contre lui dans le sens où elle s’adresse à un musulman comme lui, et qui, de surcroit, n’a pas porté ce jugement contre lui.[7]

 

Cette explication nous permet de mieux comprendre les paroles d’ibn Taïmiya : « Les kharijites kaffar lajamâ’a (les traditionalistes ou les musulmans, ou peut-être les Compagnons ndt.), comme les mu’atazilites et les rafidhites kaffar leurs opposants : au meilleur des cas, ils les considèrent comme des pervers (tafsîq). Ainsi, les gens des passions innovent une tendance et vouent à l’apostasie tous ceux qui s’y opposent. Quant aux traditionalistes, ils suivent la vérité de leur Seigneur qui leur est venu du Messager (r). Ils ne kaffar par leurs opposants ; ils sont les plus savants des hommes, et sont les plus cléments envers les hommes. »[8]

 

Les différents cas de figure du takfîr illégitime

 

  Or, l’Imam ‘Abd e-Latîf porte l’attention sur un point d’une extrême importance. Selon lui, il y a des cas où le takfîr d’un musulman fait par erreur n’est pas condamnable. Voici la teneur de ses propos : « Il est possible que le takfîr prononcé à tort provienne d’un musulman intègre animé par une erreur d’interprétation (ta-wîl). Dans le cas où il a autorité pour faire des efforts d’interprétation (ijtihâd), il n’est pas condamnable. ‘Omar avait accusé à tort Hâtib ibn Balta’a d’hypocrite et demanda même l’autorisation au Messager d’Allah (r)de le tuer. Ce dernier se contenta de répondre : « Qui te dit qu’Allah n’a pas contemplé les combattants de Badr, avant de leur dire :faites ce que vous voulez, Je vous ai tout pardonné. »[9] Il ne reprocha nullement à ‘Omar de l’avoir traité d’hypocrite.

 

Le takfîr illégitime peut provenir des ennemis d’Allah et de Son Messager ; ceux-là mêmes qui font du shirk et qui dénaturent les Noms divins. Ils s’en prennent à des musulmans intègres et leur reprochent leur adhésion au monothéisme exclusif…

 

Les pires mécréants sont ceux qui sortent les adeptes de l’unicité de la religion, qui les éprouvent par la guerre ou qui leur font subir toute forme de répression…

 

Il existe une autre catégorie d’individus qui sont animés dans leur takfîr des musulmans par une rivalité, par les passions, une divergence d’opinion. De nombreux ignorants sont touchés par ce fléau, qui est une erreur flagrante.

 

Il ne convient pas de taxer un musulman de mécréant, pervers ou égaré, sauf si la faute relève de la mécréance manifeste que corroborent les textes.

 

En outre, certaines divergences sont dues aux efforts d’interprétations dans des questions où la plupart des gens n’arrivent pas percevoir la bonne tendance en raison de leur subtilité. Ces questions ne méritent pas de jeter l’anathème (takfîr, tafsîq) sur son adversaire. Si pour certains celles-ci sont formelles et claires, pour d’autres, elles sont ambigües et subtiles, alors qu’Allah n’impose nullement à Ses créatures ce qui est au-dessus de leur capacité…

 

Ce sont les kharajites qui sortent les musulmans de la religion pour des péchés en dehors du shirk. Aux yeux des traditionalistes, ils sont des innovateurs égarés… »[10]

 

En résumé, trois catégories d’individus se dégagent de son discours.

1-      Ceux qui ont recours au takfîr illégitime par erreur. Ces derniers sont excusables à condition qu’ils soient habilités à s’initier dans ce genre de domaines.

2-      Ceux qui y ont recours pour des intérêts matériels ou par vengeance. Dans ce cas, il s’agit d’un acte pervers qui relève des grands péchés.

3-      Il y a ceux qui sont motivés par les passions ou par chauvinisme envers leur tendance ou autre. Dans ce cas, on parle d’innovation. C’est même l’un des signes distinctifs des innovateurs. Cet acte se rattache également aux grands péchés bien qu’il soit plus grave que le précédent.

 

Ailleurs, il affirme que le takfîr à tort peut être motivé par une erreur d’interprétation et par zèle envers la religion comme ce fut le cas pour ‘Omar ibn el Khattâb dans l’affaire de Hâtib. Plusieurs erreurs de ce genre ont été commises par les Compagnons. En revanche, en utilisant le takfîr pour d’autres raisons, la chose devient beaucoup plus grave.[11] C’est même l’une des caractéristiques des innovateurs.[12] ‘Abd e-Rahmân ibn Sahmân rejoint ce discours. Selon lui, les adeptes des passions se distinguent pour s’aventurer dans les questions complexes du takfîrtafsîq et hajr (l’exclusion), sans s’appuyer sur le discours des savants, alors qu’ils n’ont pas les outils en mains pour les éluder.[13]

 

À suivre…

 

Par : Karim Zentici

 


 

[1]Voir : kitâb el kabâir inclus dans majmû’ mu-allafât e-Sheïkh (6/293).

 

[2]Rapporté par el Bukhârî (6045).

 

[3]Rapporté par Muslim (112).

 

[4]E-durar e-saniya (8/165-166).

 

[5]Rapporté par el Bukhârî (6652).

 

[6]Rapporté par Muslim (111).

 

[7]E-durar e-saniya (10/360-364).

 

[8]Manhâj e-sunna (5/158).

 

[9]Rapporté par Abû Dâwûd (2650).

 

[10]E-durar e-saniya (12/262-263).

 

[11]Voir : majmû’ e-rasâil wa el masâil (1/654).

 

[12]Idem. (3/20).

 

[13]Voir : manhaj ahl el haqq wa el ittibâ’ (p. 11).

LES DANGERS DU TAKFÎR (1/2)

LES DANGERS DU TAKFÎR (2/2)

Que les Prières et les Salutations d’Allah soient sur notre Prophète Mohammed ainsi que sur sa famille et tous ses Compagnons !

 

Voir notamment : taqrîrât aimmat e-da’wa fî mukhâlafat madhhab el khawârij wa ibtâlihi qui est une thèsees doctorat du D. Mohammed Hishâm Tâhirî, et ayant eu parmi les membres du jury le grand Mufti actuel d’Arabie Saoudite, ‘Abd el ‘Azîz Âl e-Sheïkh.

 

Sheïkh‘Abd Allah le fils de l’Imam ibn ‘Abd el Wahhâb fait remarquer que le kufr et l’apostasie (ridda) consistent à renier un enseignement connu de façon élémentaire de la religion. Le problème, à ses yeux, c’est que les ignorants ne font pas la distinction entre les formes de kufr et de ridda. Beaucoup d’entre eux parmi ses contemporains y trouvaient un prétexte pour piller les musulmans.[1]

 

Le takfîr el mu’aïyin peut être sujet à l’erreur

 

S’il est mu par une erreur d’interprétation comme nous l’avons vu, il est excusable, bien qu’une menace terrible plane sur son auteur.[2] ‘Abd e-Rahmân ibn Hasan affirme que les kharijites prennent les textes au premier degré au dépens des principes traditionalistes disant notamment que l’auteur d’un grand péché ne sort pas de l’Islam. il en conclut qu’en taxant illégitimement son frère de kâfîr, on n’est pas forcément exclu du cercle des musulmans.[3] si quelqu’un se rend compte de son erreur, il doit s’en repentir sur le champ et s’excuser auprès de son frère.[4]

 

Cela ne signifie nullement que les savants n’ont jamais recours à un vocabulaire dur avec notamment les innovateurs apostats, mais ils s’assurent pour cela que le contexte y soit favorable. Le discours sera différent en fonction de la situation.[5] Les savants de aimmat e-da’wa sont les premiers à tenir compte de ce paramètre. Ils appelaient leurs contemporains à la vérité, leur réservaient des invocations et étaient les plus prompts à leur chercher des excuses dans la mesure du possible. Malheureusement, leurs détracteurs les dépeignent avec une très mauvaise image. Certains ignorants qui se réclament de leur prédication ne font qu’alimenter et conforter ce sentiment.

 

Sheïkh‘Abd e-Latîf ibn ‘Abd e-Rahmân récuse l’accusation selon laquelle l’Imam sortait les musulmans de l’Islam et à fortiori les savants. Il avait un grand respect pour les représentants de la religion et ne tolérait pas qu’on leur fasse la moindre égratignure.[6]

 

Le takfîr relève de la compétence des savants

 

Dans l’une de ses fameuses lettres, l’Imam ‘Abd e-Latîf ibn ‘Abd e-Rahmân ibn Hasan dit : « On m’a appris que vous aviez ce genre d’idées, et que vous vous êtes aventuré dans des domaines tels que :

  •  Les notions d’alliance (muwâlât/mu’âdât),

  •  Les traités et les courriers « internationaux »,

  •  Les financements et les cadeaux, et bien d’autres domaines comme :

  •  Les tendances des païens égarés,

  •  La non-application des Lois d’Allah (el hukm bi ghaïr mâ anzala Allah) par les Bédouins, etc.

 

Des domaines que seuls les savants érudits sont à même de traiter. Ces derniers sont en effet dotés d’une telle sagesse, et d’une telle perspicacité, qu’ils pénètrent parfaitement les intentions du Législateur.

 

Pour parler de ces choses, il incombe d’avoir un bagage dans les matières que nous avons citées précédemment. Il incombe de bien maitriser les règles générales et globales qui les concernent. Il n’est pas permis de s’y initier lorsqu’on est ignorant et qu’on ne tient pas compte des détails de ses règles. Un discours vague qui ne descend pas dans le détail, et qui ne sait pas comment situer ni pénétrer les intentions du législateur en détail, conduit automatiquement à l’erreur et à la confusion. C’est le meilleur moyen pour corrompre la religion des hommes et pour disperser les esprits. On se met ainsi une barrière entre soi et la compréhension du Coran et de la sunna. »[7]

 

Abâ Battîn, qui représente un symbole aux yeux de certaines tendances contemporaines, recommande de :

-          ne pas s’initier dans les questions du takfîr sans avoir les outils en main pour le faire.

-          De ne pas sortir ou de faire entrer quelqu’un dans l’Islam selon ses propres appréciations, car c’est un domaine où seuls les textes font autorités.

-          D’éviter, et ce point est d’une extrême importance, de se prononcer sur des questions où la divergence règne entre les savants. c’est un domaine où il faut être prudent, sauf s’il existe un texte explicite sur la question.

 

Malheureusement, selon Abâ Battîn, Satan est parvenu à faire glisser bon nombre de gens dans ce domaine, qui est des plus délicats. Entre faire du takfîr à outrance et interdire le takfîr à outrance il a l’embarras du choix. Le plus étonnant, pour reprendre les termes d’Abâ Battîn, c’est que si on interrogeait les uns et les autres sur une simple question qui touche aux ablutions, ils seraient incapables d’y répondre, et, paniqués, ils s’appuieraient aussitôt sur les savants. En revanche, quand il s’agit des questions aussi graves que le takfîr, ils font étrangement preuve d’assurance et d’autonomie.[8]

 

Ibn Sahmân, quant à lui, approuve les paroles de Sheïkh Abâ Battîn. [9] En outre, en réponse à une lettre, il constate notamment que la plupart des religieux qui s’initient dans ce domaine, sont de simples gens n’ayant pas le moindre semblant de science ni la moindre expérience pouvant les épargner du péril. Souvent, ils n’ont jamais feuilleté les analyses des grandes références sur la question qui n’omettent pas de rappeler dans leur discours, que seuls les grands érudits sont à même de s’y engager.[10]

 

Ibn Sahmân est également l’auteur de ces paroles : « Je pense wa Allah a’lam, que seule la personne compétente est à même de faire l’iqâma el hujja, et que celui qui n’en est pas capable, comme l’ignorant, qui ne connait pas les règles de sa religion et qui ne connait pas les paroles des savants dites sur le sujet, ne peut l’établir. »[11]

 

Pour Mohammed ibn ‘Abd e-Latîf, à vouloir se passer des savants sous prétexte d’avoir majmû’ e-tawhîd sous la main, c’est foncer droit sur un mur. Sinon, le Prophète (r) n’aurait jamais dit que le savoir se dissipera avec la mort des savants, et qu’ensuite, les hommes auront pour références les plus grands égarés…[12]

 

Au sujet des savants qui ont été touchés par le shirk akbar

 

Nous avons vu dans un article précédent que les savants de aimmat e-da’wa ne se prononçaient pas sur certains cas ayant pourtant été touchés par le shirk akbar. Dans le passage suivant, ‘Abd Allah Abâ Battîn corrobore cette tendance : « Il faut savoir que nous ne nous hasardons pas à kaffar certains auteurs dont le discours revêtait du shirk, à l’exemple de l’auteur de la Burda et tant d’autres. Ces erreurs sont gravissimes, mais il est possible qu’ils seraient revenus dessus si on leur avait fait la remarque. Nous ne dénigrons pas les morts qui ne sont plus de ce monde. Nous demandons plutôt à Allah de ne pas dévier nos cœurs après les avoir guidés et qu’Il étende sur nous Sa Miséricorde, Lui le Donateur ! »[13]

 

 

 

Le dernier mot à ibn Sahmân

 

Pour conclure cet article, rien de mieux qu’un passage extraordinaire d’ibn Sahmân qui peint le profil psychologique des mauvais prédicateurs qui n’ont d’autre ambition que de vouloir tourner les regards vers eux. Malheureusement, de nombreux contemporains qui ont pour vocation de dénigrer les savants de référence se reconnaitront dans ce portait.

 

« Il est vraiment étonnant qu’on puisse tendre l’oreille à des gens qui ne sont nullement des savants, et qui n’ont jamais étudié chez eux ! Comment peut-on se faire une bonne opinion de leurs paroles et de celles qu’ils rapportent tout en ayant une mauvaise opinion des savants ? Pourtant, ces derniers connaissent beaucoup mieux qu’eux le discours des porteurs du savoir. Leur seule ambition est de guider les gens et de leur montrer la vérité…

 

Quant à ces vulgaires ignorants qui s’autoproclament savants, nombre d’entre eux – surtout ceux qui n’ont pas étudié chez les savants – bien qu’ils appellent à la vérité, ils appellent en fait à eux-mêmes. Leur ambition est de tourner les regards vers eux dans le but de gagner le pouvoir et les honneurs. Ils veulent étendre leur autorité sur les autres. Quand on leur pose des questions, ils font des fatwas sans aucune connaissance. Égarés, ils égarent les autres. »[14]

 

Wa Allah a’lam !

 

Par : Karim Zentici

 


 

[1]Voir : majmû’ e-rasâil wa el masâil (1/84-84).

 

[2]Voir : irshâd tâlib el hudâ (p. 54-55).

 

[3]E-durar e-saniya (8/270-271).

 

[4]Voir : majmû’ e-rasâil wa el masâil (2/138).

 

[5]Voir : kashf e-shubhataïn (p. 27-28).

 

[6]Voir : majmû’ e-rasâil wa el masâil (3/449).

 

[7]Voir : usûl wa dhawâbit fî e-takfîr de l’érudit ‘Abd e-Latîf ibn ‘Abd e-Rahmân ibn Hasan, qui fut édité avec les annotations de Sheïkh D. ‘Abd e-Salâm ibn Barjas – qu’Allah lui fasse miséricorde –.

 

[8]Ibn Sahmân cite ce passage dans manhâj el haqq wa el ittibâ’ (p. 77), mais il se trouve également dans e-durar e-saniya (10/374-375).

 

[9]Voir : manhâj el haqq wa el ittibâ’ (p. 80).

 

[10]Voir : e-durar e-saniya (10/374-375).

 

[11]Manhâj el haqq wa el ittibâ’ d’ibn Sahmân (p. 68).

 

[12]Voir : E-durar e-saniya (7/294-298) pour la 2ème édition et (9/127-135) pour la 5ème édition.

 

[13]Voir : e-radd ‘alâ el Burda (p. 415).

 

[14]Minhâj ahl el haqq wa el ittibâ’ (p. 24 et 80).

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